Publié le 06/09/2019

Le football corrézien est fier d’avoir compté dans ses rangs un jeune espoir qui porte aujourd’hui le maillot du PSG.
Samuel NOIREAU DAURIAT est né le 1er janvier 2003. Le football : il y est tombé dedans dès son plus jeune âge !

A trois ans, sous la houlette de son père, il frappait déjà dans le ballon et à six ans, avec sa première licence, il intégrait l’ESA Brive, puis l’ASV Malemort et l’ES Ussac.

Incorporé au Toulouse FC à 10 ans, il rejoignait ensuite l’équipe de l’ASPTT Colomiers puis Carcassonne en U13 pour suivre son père qui exerçait les fonctions d’entraîneur dans ces clubs. Il intégrera, durant deux ans, le pôle espoirs de Castelmaurou à Toulouse dirigé par M. David MARRAUD (coach des U17 FFF) et jouera en parallèle dans les clubs du FU Narbonne, puis Montauban en deuxième année du Pôle Espoirs.

A la suite de plusieurs prestations lors des Interligues, avec la sélection U15 de la Ligue d’Occitanie, il signe le 1ER juillet 2018 un contrat d’Aspirant Apprenti pour trois ans au Centre de Formation du PSG, une des meilleures formations françaises. Il a passé plusieurs tests dans de grands clubs comme Lens, Rennes, Tours et est suivi par des clubs tels que Lyon, Angers, Toulouse, Bordeaux, Montpellier, La Juventus…

Ses qualités techniques, sa vitesse, sa percussion lui autorisent de jouer au poste d’attaquant et lui on permis de rejoindre en août 2018 la sélection Nationale U16 pour un stage de détection. Durant cette année au PSG, il a pu jouer en 17N, en tant que titulaire ou remplaçant, et a scoré à cinq reprises (dont un doublé).

Très heureux d’être, à ce jour, dans son club de cœur, il rend hommage à son père, ainsi qu’à Robert Baldassari, qui lui ont permis de vivre sa passion et réaliser ses rêves en lui inculquant les bases du foot, le goût de l’effort …
Nous laisserons à Samuel le mot de la fin : « je souhaite dire à tous qu’il faut vivre ses rêves et aller jusqu’au bout et, quoi qu’il arrive, vivre sa passion ».

Bonne chance à Samuel pour une longue carrière mais il n’oubliera pas, c’est certain, tous ses copains des clubs corréziens.

Sylvette GOUDOUNESQUE